Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 25

Mick se déplace subtilement derrière sa jeune proie et glisse un doigt sur ses reins dénudés, puis remonte doucement le long de la colonne légèrement cambrée. Élodie gonfle instinctivement sa poitrine et retient son souffle, ses seins pointent dangereusement sous le nez de Danny qui ne peut retenir un sourire carnassier.



Il a les yeux glacés rivés dans le regard émeraude de sa proie et s’apprête à glisser lui aussi sa main libre sur la peau douce de sa jeune collègue, lorsque soudain :



-Ah ben vous êtes là !



Élodie sent l’air frais envahir ses poumons, elle respire de nouveau, le sang glacé se remet à circuler dans ses membres prêts à défaillir sous son poids. Le temps s’était arrêté l’espace d’un instant lorsque son regard avait croisé celui de ce prédateur né.



C’est Marc, accompagné de Mr. Chevalleraud qui la sort de sa torpeur :



-Bon c’est quand tu veux petite, on a préparé ton matos, mais tu dois suivre la présentation de prise en main avant qu’on te laisse utiliser nos outils.

-Je …. oui, je ….. J’arrive ! Lui répond t’elle, distraite, encore sous l’emprise de Danny.



Élodie détourne le regard de son prédateur, et croise celui de Serge qui, d’un signe de la tête l’invite à suivre l’informaticien. Ils s’éloignent tous les deux dans le bureau de la DSI et Marc l’installe derrière un écran sur lequel est projeté une présentation powerpoint :



-Bon tu poses ton cul ici et tu suis les slides, y a un questionnaire à la fin pour nous assurer que tu as bien tout compris.

-OK je vois, et comment on fait …. ?



La gamine est encore perturbée de sa rencontre avec Mick et Danny, et elle n’a pas le temps de formuler sa question que l’ours l’interrompt :



-Tu appuies sur les flèches ; avancer, reculer, et tu réponds aux questions avec le clavier !

-HUM….

OK ça devrait aller ! Lui répond t’elle sur un ton légèrement amusé, soulagée de ne plus être sous l’emprise de Danny.

-Sammy ? Tu la surveilles, y a le DRH qui m’emmerde encore avec les spams de sa boîte mel.

-T’inquiètes ! Lui répond le jeune bibendum guadeloupéen.



Élodie, sous le charme du jeune aux cheveux frisés et hirsutes, et aux grands yeux gris clairs offrant un vrai contraste avec le reste de sa peau foncée. Elle veut oublier la sensation d’impuissance dans laquelle l’ont mise ses collègue et ne peut réprimer un regard gourmand vers l’entrejambe tendue comme un piquet de tente sous le short large.



À peine cinq minutes après le départ de Marc, Élodie en a marre des slides ultra chiants, elle qui ne comprend rien à l’informatique, et qui se contente juste de mater des vidéos sur internet ou de communiquer sur ses réseaux sociaux. Elle s’en contrefiche des « malwares », des « ransomwares » et autres stupidewares.



Dans son ennui et la chatte en chaleur après les attouchements de la matinée, et le fâcheux incident du couloir, elle jette régulièrement un coup d’œil malin en direction de Sammy. La jeune fille s’amuse de le voir détourner le regard à chaque fois qu’elle lève la tête dans sa direction. « Et si ? »



La petite teigne décide de rendre les choses plus intéressantes et souhaite même profiter de l’absence de Marc, pour se jouer du jeune homme. Elle commence à soupirer ouvertement, prétextant ne rien comprendre afin d’attirer l’attention de Sammy, comme si elle avait vraiment besoin de cet artifice.



Une fois le gamin hameçonné, elle commence à jouer de son index sur sa cuisse, le fait glisser sur sa peau nue et commence à écarter les jambes lorsque le guadeloupéen l’observe ouvertement. Coquine, elle mordille l’index de sa main libre, et lance des regards gourmands au jeune homme en ouvrant et refermant ses cuisses.




-J’y comprend rien à ce truc ! C’est trop duuuur …. Insiste t’elle, taquine.

-Mais si t’inquiète, tu verras c’est hyper simple en fait ! Veut la rassurer le jeune homme.



Comme il ne semble pas mordre à l’hameçon est remplir le formulaire pour elle, la petite salope pousse le jeu un peu plus loin et commence à remonter le doigt sur sa cuisse et elle découvre un peu plus son intimité en remontant le bas de sa jupe.



Lorsqu’elle ouvre les cuisses, le pan de sa jupe portefeuille s’ouvre et dévoile le haut de ses cuisses charnue. Sammy ne sait plus où donner de la tête, sa queue grandit et durcit dans son futal et il commence à se sentir à l’étroit.



Élodie se joue du gamin, vautrée sur son fauteuil, elle caresse ses lèvres, et en bonne tentatrice, laisse son doigt descendre le long de son cou, souligner la courbure de son raz le cou, griffer lentement et doucement la peau découverte dans le V plongeant de son cache cœur.



Son autre main caresse maintenant l’intérieur de ses cuisses gourmandes, le gamin devine presque l’abricot imberbe et dénudé sous la jupe entrouverte. Et pour conclure son tour de force, Élodie, mordillant sa lèvre inférieure, joue du bout des doigts sur son téton gonflé et durcit sous le fin tissu de son haut.



Sammy n’en peut plus. Machinalement, il remonte la jambe de son short et dévoile une partie de son pieu de chair le long de sa cuisse ; « Putain, c’est quoi ce monstre ? » Élodie , les yeux écarquillés, est abasourdie par la taille de sa queue. Mais les adolescents sont interrompus par l’ouverture de la porte du bureau.



Marc fait irruption dans la pièce, les yeux injectés de colère. Il ne voit même pas les jeunes gens paniqués remballant leurs atours pour reprendre leurs activités, les joues rosis par une honte mélangée à l’excitation de s’être presque fait surprendre par le directeur informatique.




***



Élodie se rend compte qu’elle joue un peu trop avec le feu, mais la séance du matin avec Mr. Grosbout a laissé la gamine dans un état de jouissance inachevée et maintenant, son corps réclame son extase. e de sexe, l’adolescente prend conscience qu’elle est prête à aller loin pour assouvir ses désirs.



Alors que Marc continue de maugréer dans la pièce Élodie tente de se concentrer un minimum. Elle a tout de même conscience d’être sur un lieu de travail, et malgré l’excitation provoquée par la grosse queue de Sammy, l’entrée inopinée du chef de service a fait l’effet d’une douche froide à la jeune fille qui n’est pas peu fière d’avoir terminer le questionnaire.



-Wiiiiii ! 78 %, j’ai réussi Mr. Marc !

-Hein, Euh oui OK, c’est bien, montre moi ça ?



Lorsque l’informaticien se tourne vers l’ingénue, il se calme comme par magie. Il la regarde avec gourmandise, Élodie pourrait presque entendre ses pensées : « Beau p’ti lot quand même ! » Il se place derrière la gamine, et attentionné, il lui explique les quelques points sur lesquels la jeune stagiaire va devoir être vigilante.



Dans sa position dominante, il jette des petits coups d’œil dans le V profond de son décolleté, et se régale des pointes de sein qui se dessinent en surimpression à travers le tissu du petit top. Sans en faire trop, et avec une attitude presque paternelle, Marc frôle régulièrement la main de la gamine pour prendre la souris, taper sur le clavier, et accroupi à ses côtés, ses grosses cuisses poilues frôlent souvent la peau douce des jambes nues de la nouvelle venue.



L’adolescente aime l’attention, et n’est pas indifférente au changement d’attitude du rustre qui a troublé son excitation passagère, et les légers attouchements ont le don de rallumer la flamme du désir charnel qui sommeil en elle.



Elle tient bon, mais même si elle résiste à la tentation de répondre aux doux attouchements des jambes velues contre sa peau sensible, elle ne peut pas vraiment contrôler les fourmis qui lui démangent la chatte.
Ses reins et son ventre s’échauffent assez rapidement, et c’est un coup de fil qui lui sauve la mise.



Marc, furax, se rend à son bureau, et décroche ; encore le DRH, il fait signe à la gamine : c’est bon tu peux y aller ! Puis se tourne vers Sammy pour lui chuchoter :



-Occupe toi d’elle, et va lui installer son poste !

-OK chef ! Le guadeloupéen se tourne vers sa nouvelle collègue : Tu me suis ?



Élodie qui tente de remettre ses idées en place, marque une pause avant de lui répondre :



-Oui oui, j’arrive !



Elle se lève et ajuste sa jupe discrètement, avant de suivre Sammy qui la précède jusqu’à son propre bureau en face du quatuor de repris de justice.



***



Lorsqu’elle suit le guadeloupéen dans le couloir, la jeune fille est perdue dans ses pensées à l’idée de retrouver les anciens détenus, et particulièrement Mick et Danny. Son cœur est lourd, anxieuse et apparemment démunie face au magnétisme de Danny, elle craint de tomber sous le joug carnassier du repris de justice.



Alors qu’elle sent sa chatte fondre et s’humidifier à l’approche de la porte du bureau, elle est sur le point de défaillir lorsque Sammy appuie sur la poignée. Mais, surprise, il n’y a personne, la pièce est vide, ce qui ne semble pas surprendre le jeune informaticien.



-Ben alors ? Tu viens ?

-Je …. Euh …. Oui, ils sont où tous ?

-Ah ça ? Ben chaque semaine, Mr. Chevalleraud part avec son équipe pour défendre les dossiers devant les instances de je sais pas quoi !

-Ah oui ? Et ils reviennent quand ?

-Ben je sais pas moi ! De toute façon on est barré à 18h00 nous, donc ….



Il laisse la phrase en suspens et invite la jeune fille à le rejoindre pour lui montrer comment initialiser ses comptes. Bien que soulagée de ne pas avoir à supporter ses collègues cet après midi, Élodie est inexplicablement déçue. Elle repense inconsciemment à l’aura qui se dégageait de Danny lorsqu’il lui bloquait le passage de son bras tatoué.



-Et tu sais ? Ils sont pas tous clairs si tu veux mon avis ! L’interrompt dans ses pensées le geek.

-Comment tu peux dire ça ? Tu les connais ?

-Non c’est pas ça, on n’a pas le droit de savoir ce qu’ils ont fait dans le passé, mais bon moi ils me glacent le sang !



C’est bien ce qu’elle a ressenti elle aussi, hypnotisée, incapable de bouger, comme si le temps s’était arrêté, le sang glacé figé dans son corps pourtant aux abois de se faire toucher, caresser, voire même r. Elle était comme une biche prisonnière du loup qui va la dévorer, mais incapable de s’en échapper.



C’est dans cette torpeur latente, et bien impuissante à soulager le stress sexuel qui s’est construit en elle toute la matinée, qu’Élodie s’imprègne, distraite, des métiers de l’association. Lorsqu’à 18h00 elle voit passer Sammy, il passe sa tête hirsute par la porte et l’invite à le suivre.



-Euh, ben j’vais peut être attendre Serge, euh Mr. Chevalleraud, pour rentrer !

-Je crois pas qu’il va repasser au bureau, il a réservé la voiture de service jusqu’à demain !

-Quoi ? T’es sérieux ?



Surprise que Serge ne l’ait même pas prévenue, elle vérifie son smartphone ; « Oh merde, la conne, putain ! » Elle n’a pas vu qu’il lui a laissé un message lorsqu’elle passait son test.



<Ne m’attend pas ce soir, désolé, des dossiers imprévus à traiter en urgence ! Je t’appelle ce soir !>



Déçue, elle att sa pochette et la passe sur son épaule et interpelle Sammy :



-Attends moi, j’arrive !



En entrant dans l’ascenseur, la jeune fille se demande comment elle va rentrer chez elle, lorsqu’elle se souvient que le père d’Enzo a un chantier dans le quartier. Elle envoie un message sur le groupe Snap de ses trois potes en espérant qu’ils soient dans le coin.



Lorsqu’elle sort de l’immeuble avec Sammy, elle reçoit une réponse de Enzo ; « Génial ! Ils sont bien là ! » L’informaticien l’interpelle :



-Tu vas dans quel coin ?

-Euh …. J’attends des potes à moi, mais on se voit demain ?

-Oui bien sûr ! Lui répond le gros bibendum, un peu gêné ; « Tu croyais quoi mon vieux ? »


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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